Ailleurs j’ai été ignoré ici j’ai vécu crucifié
Longtemps exilé ici j’ai survécu à mes sombres officiers
Ma vie entière coulant comme une lourde pierre
Avec les amis d’hier que le temps a fini par terrasser
Vilains victimes victorieux tous dans un coin de cimetière
Immortels souvenirs spectres d’un lointain passé
Doucement je revis les froids délices de cette profonde fraternité
Avant de m’éteindre aussi pour l’éternité
Jamais je n’aurais pensé que l’amitié
Au cœur vaste vidée subtilement falsifiée
Celle qui anime ceux qui disent tout haut
Qu’ils vous aiment si vrai si beau
Un jour par temps aux couleurs effacées
En vous embrassant amicalement sur la joue
Sortirait de sa mesquinerie le poignard de sa cruauté
Y a-t-il dans le monde plus désabusé
A t-on vu dans mon esprit nul traîtrise
Nulle hypocrisie qui justifie qu’on me méprise
Ne vous ai je pas chers compagnons de mon odyssée
Inondés de ma fraternelle considération
Comment avez-vous pu réduire en cendres cette vive passion
Kleptomanes vils profanes de mon précieux de mon alizé
Baryton soprano orchestra maestria
En finir avec cette formidable symphonie porcine
Au concert de louanges de cette pathétique familia
Unie sous le soleil divisée sous la pluie fine
Regarder l’implacable vérité d’une âme bafouée
Insultée par des sentiments nauséabonds tels l’envie la jalousie
Sortant des yeux de ceux qui longtemps j’ai appelé amis..
Longtemps exilé ici j’ai survécu à mes sombres officiers
Ma vie entière coulant comme une lourde pierre
Avec les amis d’hier que le temps a fini par terrasser
Vilains victimes victorieux tous dans un coin de cimetière
Immortels souvenirs spectres d’un lointain passé
Doucement je revis les froids délices de cette profonde fraternité
Avant de m’éteindre aussi pour l’éternité
Jamais je n’aurais pensé que l’amitié
Au cœur vaste vidée subtilement falsifiée
Celle qui anime ceux qui disent tout haut
Qu’ils vous aiment si vrai si beau
Un jour par temps aux couleurs effacées
En vous embrassant amicalement sur la joue
Sortirait de sa mesquinerie le poignard de sa cruauté
Y a-t-il dans le monde plus désabusé
A t-on vu dans mon esprit nul traîtrise
Nulle hypocrisie qui justifie qu’on me méprise
Ne vous ai je pas chers compagnons de mon odyssée
Inondés de ma fraternelle considération
Comment avez-vous pu réduire en cendres cette vive passion
Kleptomanes vils profanes de mon précieux de mon alizé
Baryton soprano orchestra maestria
En finir avec cette formidable symphonie porcine
Au concert de louanges de cette pathétique familia
Unie sous le soleil divisée sous la pluie fine
Regarder l’implacable vérité d’une âme bafouée
Insultée par des sentiments nauséabonds tels l’envie la jalousie
Sortant des yeux de ceux qui longtemps j’ai appelé amis..